Le Président des riches
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Le Président des riches
C'est ainsi que le présentent ses adversaires politiques.
Les journalistes qui sont pratiquement tous de gauche pratiquent la désinformation systématique.
L'homme du Fouquets : Son épouse, Cécilia, avait organisé une pause dans ce lieu après les résultats de l'élection. On sait qu'elle n'a pas voté et que le couple battait de l'aile depuis quelque temps. Nicolas Sarkozy a attendu longtemps sa femme avant qu'un de ses proches ait réussi à la décider à le rejoindre. Cela a été décrit comme le mépris de l'homme pour son peuple, puisqu'il préférait la compagnie de ses amis riches au contact avec la population.
C'est vrai que le Président a des amis chez les riches. Mais tous les hommes de pouvoir, de gauche ou de droite ont des amis riches. D'ailleurs, riches, ils le deviennent tous après vingt ans de pouvoir. Voyez le cas DSK !
Les journalistes qui sont pratiquement tous de gauche pratiquent la désinformation systématique.
L'homme du Fouquets : Son épouse, Cécilia, avait organisé une pause dans ce lieu après les résultats de l'élection. On sait qu'elle n'a pas voté et que le couple battait de l'aile depuis quelque temps. Nicolas Sarkozy a attendu longtemps sa femme avant qu'un de ses proches ait réussi à la décider à le rejoindre. Cela a été décrit comme le mépris de l'homme pour son peuple, puisqu'il préférait la compagnie de ses amis riches au contact avec la population.
C'est vrai que le Président a des amis chez les riches. Mais tous les hommes de pouvoir, de gauche ou de droite ont des amis riches. D'ailleurs, riches, ils le deviennent tous après vingt ans de pouvoir. Voyez le cas DSK !
Le bouclier fiscal
C'est la mesure la plus contreversée de son quinquennat. La crise économique, brutale, telle un tsunami, a ruiné le bénéfice qu'on devait en tirer. Aussi, le Président a dû y renoncer contre sa volonté.
L'idée était juste : ne pas demander à quelqu'un de contribuer à plus de 50% de ses revenus à la solidarité. Je ne suis pas de ceux-là, et je le regrette, mais je suis convaincu que ce moyen de continuer à empêcher les riches de quitter la France - et donc de ne plus payer d'impôt du tout chez nous - était le bon. Et sans la crise, je suis persuadé qu'il aurait même fait revenir nombre d'entre eux (80000, rein qu'en Belgique). Mais la violente polémique entretenue pas la gauche a empêché ceux-ci de croire à la pérennité de la mesure. Et la suite leur a donné raison.
Pour assurer la solidarité avec les pauvres, il faut des riches qui paient des impôts. Il n'y a pas plus simple à comprendre que cela. Comme il est simple de comprendre que ce sont les entreprises qui donnent des emplois et qu'il ne faut pas les asphyxier sous les taxes qui les handicapent dans la compétitivité mondiale, les amenant parfois à décider d'en expatrier la production.
Seule la création de richesses permet la redistribution de celles-ci. Ne décourageons pas les entrepreneurs, ne faisons pas fuir les talents. Il est normal que le talent produise des revenus élevés.
L'idée était juste : ne pas demander à quelqu'un de contribuer à plus de 50% de ses revenus à la solidarité. Je ne suis pas de ceux-là, et je le regrette, mais je suis convaincu que ce moyen de continuer à empêcher les riches de quitter la France - et donc de ne plus payer d'impôt du tout chez nous - était le bon. Et sans la crise, je suis persuadé qu'il aurait même fait revenir nombre d'entre eux (80000, rein qu'en Belgique). Mais la violente polémique entretenue pas la gauche a empêché ceux-ci de croire à la pérennité de la mesure. Et la suite leur a donné raison.
Pour assurer la solidarité avec les pauvres, il faut des riches qui paient des impôts. Il n'y a pas plus simple à comprendre que cela. Comme il est simple de comprendre que ce sont les entreprises qui donnent des emplois et qu'il ne faut pas les asphyxier sous les taxes qui les handicapent dans la compétitivité mondiale, les amenant parfois à décider d'en expatrier la production.
Seule la création de richesses permet la redistribution de celles-ci. Ne décourageons pas les entrepreneurs, ne faisons pas fuir les talents. Il est normal que le talent produise des revenus élevés.
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