Encore une à éjecter en urgence : Najat Belkacem !
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Encore une à éjecter en urgence : Najat Belkacem !
Cette brillante idéologue vient de lancer une charge contre l'école parce que des milliers d'élèves ont refusé la minute de silence demandée par leurs professeurs.
Voilà ce qui arrive quand on passe des études à un grand Ministère : on est totalement déconnecté de la réalité.
J'ai été un professeur très motivé pour aider les enfants en difficulté et je les ai vivement encouragés, mettant l'accent sur les progrès sans m'appesantir sur les erreurs dues aux lacunes accumulées ; j'ai sanctionné avec sévérité les comportements critiquables ; j'ai été apprécié des enfants et de leurs parents. Cela m'a apporté de grandes joies.
J'ai été Professeur des écoles jusqu'en 2001. J'avais l'âge de la retraite mais j'avais encore la grande forme. Et pourtant je n'ai pas voulu prolonger ma carrière d'un an ou deux parce que depuis l'ère Mitterrand, le Professeur est devenu le maillon faible de l'éducation !
Complètement dépossédé de la moindre parcelle de pouvoir, on lui a interdit de noter les élèves (je n'ai pas cédé - ce qui m'a valu des problèmes avec l'administration) car il est injuste pour ces plouks de faire remarquer qu'un élève a fourni des efforts et mérite une appréciation positive alors qu'un autre qui n'a pas voulu s'investir a droit à une réprobation justifiée.
On a retiré le droit de sanctionner les comportements déstabilisants pour les autres enfants.
On a même retiré aux Professeurs la prééminence de la décision si un élève était armé pour réussir dans le cours supérieur. Alors pourquoi ferait-il le moindre effort
Dans ces conditions, comment demander aux enseignants d'exiger quoi que ce soit dans un quartier où règne la loi des caïds ?
Voilà ce qui arrive quand on passe des études à un grand Ministère : on est totalement déconnecté de la réalité.
J'ai été un professeur très motivé pour aider les enfants en difficulté et je les ai vivement encouragés, mettant l'accent sur les progrès sans m'appesantir sur les erreurs dues aux lacunes accumulées ; j'ai sanctionné avec sévérité les comportements critiquables ; j'ai été apprécié des enfants et de leurs parents. Cela m'a apporté de grandes joies.
J'ai été Professeur des écoles jusqu'en 2001. J'avais l'âge de la retraite mais j'avais encore la grande forme. Et pourtant je n'ai pas voulu prolonger ma carrière d'un an ou deux parce que depuis l'ère Mitterrand, le Professeur est devenu le maillon faible de l'éducation !
Complètement dépossédé de la moindre parcelle de pouvoir, on lui a interdit de noter les élèves (je n'ai pas cédé - ce qui m'a valu des problèmes avec l'administration) car il est injuste pour ces plouks de faire remarquer qu'un élève a fourni des efforts et mérite une appréciation positive alors qu'un autre qui n'a pas voulu s'investir a droit à une réprobation justifiée.
On a retiré le droit de sanctionner les comportements déstabilisants pour les autres enfants.
On a même retiré aux Professeurs la prééminence de la décision si un élève était armé pour réussir dans le cours supérieur. Alors pourquoi ferait-il le moindre effort
Dans ces conditions, comment demander aux enseignants d'exiger quoi que ce soit dans un quartier où règne la loi des caïds ?
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